Il était une fois, une femme qui cousait à la fenêtre de sa chambre par temps de neige. Lors, songeuse, elle se piqua le doigt et trois gouttes de sang sombre perlèrent sur la neige. Soudain attirée par la beauté de se spectacle, elle fît le vœu à voix haute d'avoir un jour un enfant, avec le teint aussi blanc que la neige, les lèvres aussi pourpres que le sang, et les cheveux aussi noirs que l'ébène. Un esprit qui passait par là, ému par la dame, s'approcha et entendit sa requête. Il lui apparu soudain et lui révéla son identité.
"Je t'exaucerai femme, pour peu que tu sois sincère, tu connaîtra un grand bonheur dans ta vie." Et l'esprit reparti, laissant là la femme.
Cependant, le destin ne prévoit pas toujours les choses comme on l'entend... Par une sombre nuit d'orage après un dîner en présence de sa famille afin de présenter le fiancé de la demoiselle, une vague de sentiments jusque là inconnus s'empara du frère aîné poussé par la jalousie. Lors que les nouveaux amants se retrouvèrent afin d'échanger un baiser, le frère pris de folie, assassinat le fiancé, et viola sa sœur.
Quelques mois plus tard, la jeune femme était enceinte, le bonheur promis s'était transformé en cauchemar et grâce l'argent de sa famille aristocrate, le frère ainé n'eut pas s'inquiéter de son acte. Il fût juste éloigné quelques temps. L'esprit réapparu à la jeune femme et lui dit:
"Oh malheureuse... L'enfant que tu portes en toi est maudit car fruit d'un inceste. Son âme m'appartiendra, car tel est le sort des créatures issues d'un pacte avec les entités des enfers. Elle connaîtra 1000 morts avant de connaître la sienne mais reviendra à la vie à chaque fois. Quand à toi, ton malheur te suffit. Adieu".
Quelques temps plus tard naquit Atefani Withburry, une ravissante enfant. Elle était très énigmatique et magnifique, mais ne recevait jamais d'attention de sa mère. L'enfant était prises de narcolepsie et le dégoût qu'éprouvait sa mère envers elle était sans égales. La mère avait tué sa fille un grand nombre de fois (noyade, égorgement, brûlures,...), et chaque fois l'enfant revenait à la vie intacte comme pour lui rappeler sans cesse qu'elle était le fruit du pêché le plus infâme qu'on ne pouvait faire disparaître. La mère mis fin à ses jours au 7ème printemps de sa fille.
Atefani fût élevée par la suite par ses grands parents qui lui donnèrent l'éducation de toute jeune fille de bonne famille tout en veillant à l'écarter de la vie mondaine. Il lui offrirent comme ami, un panda articulé qu'un inventeur de génie avait réussit à animer. Atefani passe ainsi ses journées à écrire des contes et histoires recluse dans la propriété familiale, jusqu'au jour où elle parti à la découverte du monde.
Mais sa curieuse maladie restait toujours là....
To be continued......
Ps: Comme d'habitude cliquez sur les images pour les voir de manière non tronquées ^^.
2 commentaires:
Bien triste histoire pour une merveilleuse Pullip.
Magnifique!!!!
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